Galerie d’essais 2021

Étudiants diplômants
01.05 – 29.06.2021

Galerie d’essais
01.05 – 29.06.2021
Ravisius Textor
 
À la fin de chaque année scolaire, Ravisius Textor cède ses murs et sa programmation aux étudiants diplômants. Pendant près de deux mois, ces derniers peuvent tester des accrochages et organiser des événements en lien avec leur diplôme.
 
D’abord, la semaine du 01 au 08.05.2021 a été consacrée à une performance-exposition de Lucas Lejeune relative à « une réflexion des formes de mise en œuvre du travail ».

Puis ça a été jusqu’au 25.05.2021 le tour de l’exposition « Quelques parts » du travail photographique et fictionnel de Lyse Marie sur les appartements de ses proches. Des images très rapprochées des choses et des objets parlants pour une tentative d’approche sensible de l’intime.

Les Galeries d’essai ont continué par la restitution « En quête », du 29.05 au 04.06, d’un atelier mené à l’école avec les DnMade Graphisme 1ère année par Salle de Lecture, soit Geoffrey Bourgeois, Frédéric Jaman et Victor Sirot.
http://salledelecture.fr/

Le 29.05 avait lieu un atelier en bord de Loire animé par Manon Guichard en lien avec son diplôme sur les traces du corps. Celle-ci proposait de traduire des passages du « Langage de la danse » publié par Mary Wigman en 1963 par Mary Wigman dans des chorégraphies produites par un alphabet de son invention réinterprétant la labanotation, cette écriture de la danse mise au point par le chorégraphe, théoricien et danseur d’avant-garde hongrois Rudolf Laban, dans les années 1920.

À partir du 03.06 avait lieu l’exposition de l’installation de Pauline Leroy en lien avec son diplôme consacré aux expressions de la musique et de la culture Métal.

Les Galeries d’essais sont aussi l’occasion d’inviter des praticiens pour des présentations de leur travail. Le 12.06 nous avions la chance d’accueillir Érik Bullot et son merveilleux travail du langage par le médium cinématographique.

Dernier événement des Galeries d’essais 2021, l’exposition collective de Claire Cambier, Camille Correia et Lyse Marie de leurs travaux de diplôme liés respectivement à un féminisme du care, à l’inclusivité de genre et à l’intime dans le graphisme.